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Retrouvez toutes les subtilités du CRM sur digiSchool commerce.
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Le CRM se compose de trois dimensions :Â
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Le CRM opérationnel, c'est être capable de reconnaître son client à travers tous les points de contact ( internet, téléphone, personne en contact ) et d'interconnecter les différents canaux.Â
L'information sur le client est disponible quel que soit le canal utilisé.
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Le CRM analytique a pour but d'exploiter et d'enrichir les données collectées par le marketing opérationnel. C'est pouvoir par exemple proposer au client des suggestions à partir des achats réalisés par d'autres consommateurs au profil similaire.Â
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Le CRM collaboratif permet de faciliter les interactions entre le client et l'entreprise.
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Le mur entre l'entreprise et les consommateur tombe. Les consommateur peuvent désormais contacter l'entreprise de différentes manières, consulter les stocks, suivre la livraison, participer à l'élaboration de produits...
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Le marketing relationnel est une stratégie regroupant de multiples outils ayant pour but de construire une relation individualisée et personnalisée avec les clients sans oublier l'interaction qui doit avoir lieu avec lui.
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L'enjeu est de faire ressentir aux clients que l'on est la pour eux, il faut le chouchouter pour qu'il est des pensées et des attitudes positives envers la marque ou l'entreprise.Â
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Les consommateurs se situent toujours plus au cœur de l'entreprise. Cela va du marketing produit au marketing client.
L'information est plus facilement disponible mais il faut apprendre à l'exploiter. Cela pose le problème de respect de la vie privée.
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Ce rapprochement consommateur-entreprise oblige les entreprises à repenser l'entreprise, à adapter la culture afin de réagir et anticiper les réactions des consommateurs.
Le CRM doit donc être appréhendé comme une stratégie d'entreprise.
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Le marketing relationnel affecte l'organisation dans son ensemble : le marketing, les nouvelles technologies, service, logistique, finance, production et développement, RH.
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Dans la pratique, les nouvelles technologies jouent un rôle central et le CRM vise à l'excellence opérationnelle.Â
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Lorsque l'excellence opérationnelle est atteinte, il faut :Â
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La connaissance du consommateur :Â
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Qui est le client ? Qu'a-t-il acheté ? Comment préfère-t-il communiquer ? Comment le caractériser ?
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Développer cette concurrence par un grand nombre de consommateurs :Â
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Via :
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L'entreprise fait appel à des écueils ce qui fait grimper le sentiment d'intrusion.Â
En effet, 61% de la population française pensent que la constitution de fichiers porte atteinte à leur vie privée. Les français veulent donc plus se protéger.
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La stratégie relationnelle Â
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Il faut dépasser la transaction, l'entreprise va chercher à construire un engagement durable fondé sur la confiance.
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La communicationÂ
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Il faut maintenir le dialogue au delà de la transaction, être capable de sortir des procédures de communication prédéfinies.
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La personnalisation de l'offre Â
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Il faut pouvoir aboutir à une offre de produit ou de service individualisée. Toutes variables du Mix y compris le prix.
Attention à ne pas tomber dans un excès de complexité pour le consommateur.
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Il existe 3 règles principales => donner, recevoir et donner.Â
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La partie qui reçoit doit, en retour, donner quelque chose pour générer chez l'autre l'obligation de donner à nouveau.Â
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On appelle cela le concept de contre don.
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Cette réciprocité suppose l'existence d'une règle morale entre les deux parties. L'équilibre peut être réalisé à terme et la réciprocité est un principe universel.
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Six biens échangeables ( selon leur caractère plus ou moins personnel et leur caractère tangible ) :Â
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Ils sont plus ou moins personnels et plus ou moins tangibles.
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L'amour est personnel et très peu tangible.Â
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Le service est intangible car il faut réunir du personnel, du support physique, les clients.
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La qualité du service va dépendre de l'interaction entre ces 4 éléments.
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L'argent n'est pas personnel et très peu tangible ( paiement en chèque ou en CB )
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Le statut et l'information sont tout deux intangibles.
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L'engagement correspond à la volonté de maintenir une relation durable et valorisée par les intéressés.Â
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Différentes formes d'engagement :
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La confiance
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Elle est une condition nécessaire au développement d'une relation.Â
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Définition : assurance de la fiabilité et de l'intégrité du partenaire ( Morgan et Hunt ( 1994 )).
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L'honnêteté : respect des promesses, capacité à communiquer les mauvaises nouvelles si nécessaire.Â
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Compétence et réciprocité du partenaire : on offre de l'aide et de l'assistance pour placer la relation sur le long terme.
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Trois niveaux de confiance :
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La confiance permet de surmonter son sentiment d'insécurité et des doutes. L'engagement mutuel pourra être plus fort grâce à la multiplication des échanges.
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Comment mesure-t-on la confiance ?
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 Bienveillance  |
Crédibilité  |
Je trouve qu'AF est concerné par mon bien être |
 Je peux compter sur AF  |
Je trouve qu'AF ne fait pas assez d'efforts pour moi |
 AF tient les promesses |
Je trouve qu'AF se préoccupe de mes intérêts |
 AF est une compagnie sérieuse  |
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On pourrait calculer la moyenne avec chacune des notes, réaliser une analyse factorielle qui permet de vérifier qu'on a deux dimensions et d'avoir un résultat factoriel.
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On considère que la confiance ne se mesure pas directement mais s'appréhende à travers la crédibilité, la bienveillance.Â
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Derrière ça, on trouve trois items pour chacun des deux qui vont constituer la mesure.Â
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Au départ, engagement fort de la personne. Durant la phase d'exploration, l'engagement va diminuer. Durant la phase de croissance, l'engagement remonte. Arrivé à maturité, l'engagement décroît ainsi que les achats ( phase de déclin ).Â
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Engagement = ( satisfaction, attrait, coûts du changement )
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Les communautés
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Sept critères d'analyse des structures sociales :
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Trois structures sociales principales ( Merton 1957 )
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Le groupe : interactions régulières entre les membres, développement d'un système de norme
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Le collectif : moins d'interaction et de communication directe entre les membres, souvent de grande taille, partage de normes et de valeurs communes, relations établies sur le long terme.
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La catégorie sociale : interactions, communication et normes ou valeurs communes ne sont pas nécessaires, elle n'existe que par nécessité de devoir classer les individus selon des caractéristiques spécifiques ( âge, situation familiale... ).
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Néo tribalisme ( Maffessolli ) : catégorie sociale sont déclinantes, plutôt faire appel au néo tribalisme ( en fonction des regroupements affectifs ).
Le community management s'appuie là dessus.
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Marketing viral : on s'assure que le message soit diffusé par tout ceux qui ont été en contact avec ce message.
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La pyramide relationnelle :Â
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Un très bon résumé du CRM. Merci beaucoup, il m'est très utile :)
Merci beaucoup pour ce résumé clair et concis, il me sera très utile !
C'est très intéressant, un résumé bien clair, très utile
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