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J’ai intégré l’ESSEC ce mois de septembre 2018, après une prépa HEC à Ipécom Paris, et je suis encore comme sur un nuage.
Faire partie des quelques milliers d’élèves qui parviennent à réussir le concours d’entrée des Grandes Écoles parisiennes comme l’ESSEC, HEC, l’X ou Normale sup. était pour moi un rêve d’enfant. Certes nous rêvons presque tous d’être un jour astronaute, pilote de course ou médaille d’or aux jeux olympiques, mais nous savons pourtant que cela n’arrivera jamais.
Au lycée, à Asnières j’étais un bon élève pour quelques professeurs et moyen pour beaucoup. J’ai suivi la filière ES car j’aimais bien les sciences sociales et l’économie. Mais aussi ce monde, un peu mystérieux en ce temps pour moi, de l’entreprise. Aussi je l’avoue j’avais quelques difficultés en Maths. J’étais sûr de ne pas vouloir faire maths sup et une école d’ingénieurs. J’ai donc fait mon choix de la filière ES. Adieux le rêve d’être un jour un astronaute.
J’ai obtenu mon baccalauréat en juin 2016 avec une mention bien. J’ai eu de la chance avec l’épreuve écrite de mathématiques, car je maîtrisais mal certaines parties du programme.
Mes recherches sur les voies possibles dans les études supérieures ont commencé en septembre 2015. Que faire ?
J’ai d’abord fait des recherches sur les formations universitaires. L’université, dans les domaines de l’économie, la gestion et les sciences sociales en général, offre un choix de qualité, qui conduit généralement pour quelques-uns vers des carrières de chercheurs et pour la plupart vers des concours administratifs ou l’enseignement. Certes il y a les passerelles, les admissions parallèles, qui peuvent conduire vers des formations plus appréciées dans le privé. Ainsi après la licence on peut intégrer les programmes grandes écoles, mais le nombre de places offertes dans les écoles parisiennes est vraiment très faible.
En deuxième lieu je me suis intéressé aux écoles de commerce post bac. Depuis quelques années les écoles de management proposent, le “programme bachelor”. Ce programme propose d’intégrer l’école de management immédiatement après le bac, avec un processus de sélection plus ou moins léger selon l’école. Il est vrai aussi que ce diplôme de “bachelor” n’est encore reconnu par l’État. De même le passage du “bachelor” au programme grande école n’est pas automatique. Bien trop d’inconvénients pour que mon choix se porte vers cette solution.
De même je me suis penché sur les formations BTS et DUT. J’ai vite conclu qu’elles n’étaient pas assez ambitieuses à mon goût, bien que certains prolongent leurs études par des passerelles qui les conduisent vers certaines universités et écoles de commerce. Mais ce n’est pas le parcours idéal.
Finalement je me suis intéressé au parcours traditionnel, “la voie royale” pour certains, bien que je n’aime pas ce qualificatif. Je préfère dire la voie de l’effort et de la formation. La prépa HEC ou classes préparatoires économiques et commerciales.
Une fois les autres options rejetées, je me décide à faire les classes préparatoires économiques et commerciales voie ECE ou prépa ECE.
J’avais donc un projet. Réussir le concours d’une grande école.
Je n’avais pas un assez bon dossier pour intégrer les grandes prépas parisiennes comme Louis le Grand ou Henri IV. Je savais qu’alors le meilleur choix, celui qui offrirait les meilleures chances, serait une prépa privée parisienne.
J’ai eu des rendez-vous avec les responsables des admissions de presque toutes, et mon choix s’est porté sur la prépa HEC Ipécom Paris www.ipecomparis.com/prepa-hec/
En effet, j’ai été reçu par Mme Reithmann, la directrice d’Ipécom Paris. Cette dernière, a analysé mes copies de lycée dans toutes les matières, afin de déceler mon potentiel. Nous avons beaucoup discuté et malgré des résultats moyens dans certaines matières au lycée, Mme Reithmann a cru en moi et m’a donné ma chance.
Mme. Reithmann m’a fait comprendre qu’Ipécom Paris entraînait, stimulait, aider et finalement éclairer le parcours de ses élèves. Elle m’a aussi montré que l’équipe pédagogique ne se limitait pas à enseigner les programmes des classes préparatoires. Que les professeurs forment aussi les élèves aux méthodes de travail, renforce leur l’endurance, leur motivation et leur autodiscipline. Que chaque élève à des besoins différents, et que les professeurs en tiennent vraiment compte.
Enfin qu’Ipécom Paris est un établissement ou les élèves ne sont pas des ennemis ni sont en compétition entre eux, mais qu’au contraire, il s’agit de jouer la carte de l’entraide pour que tout le monde réussisse. Ainsi, à Ipécom paris les élèves de nos classes préparatoires sont des élèves qui veulent réussir sans écraser l’autre. Nous avons compris que, pour réussir, il suffit de puiser au fond de soi et de repousser ses limites.
Au cours de ces deux années j’ai bénéficié d’un enseignement de très haute qualité, d’un soutien et d’un accompagnement sans faille et tellement précieux de tous les professeurs.
Ma première année à IPECOM fut quelque peu bancale. Mes premières notes étaient parfois catastrophiques. Ainsi j’ai eu 4 en anglais, 2 en math, 5 en économie et 5 en contraction de texte lors des premières épreuves.
Toutefois, je restais très motivé, je prenais souvent des rendez-vous avec Mme Annie Reithmann pour avoir des conseils de méthode de travail. En effet une des particularités d’IPECOM est qu’elle offre un suivi personnalisé à ses élèves. Mme Annie Reithmann regardait mes notes du coin de l’œil et me faisait des programmes de travail. Environ 10h de travail par jour avec plus d’heures en maths et en langue. Je suivais alors ses conseils à la lettre et mes notes progressaient petit à petit.
Mon passage en deuxième année à IPECOM était moyen, mes notes progressaient mais restaient faibles. Grâce à une forte progression en math et à un profil volontaire. Si la première année a pu me mettre le pied à l’étrier encore fallait-il savoir avancer. J’ai su prendre du recul. J’ai donc continué à travailler d’arrachepied pour progresser. Mes notes grimpaient, mais fluctuaient. Ainsi il pouvait m’arriver d’avoir de bonnes notes de la classe en maths ou en économie mais elles pouvaient vite retomber. Cependant je me sentais à l’aise. Je connaissais bien mes cours et je voulais une cadence plus intense que celle de ma classe. J’en ai donc parlé avec Mme Reithmann et elle a décidé de me faire passer dans la classe « étoile » avec de très bon élèves 2ème année.
J’ai ainsi, après deux années de prépa Ipécom Paris, en juin 2018, réussi à intégrer une prestigieuse école de commerce. Mon admission à l’ESSEC et une concrétisation de ce qui me paraissait inaccessible. Mais comme le dit très justement Pierre-Simon Ballanche : “le succès est un chemin que la patience et la persévérance rendent accessible”.
J’ai passé deux merveilleuses années de classes préparatoires Ipécom Paris. En tant qu’ancien élève de la prépa ECE Ipécom Paris je tiens à adresser mes remerciements à tous les professeurs pour tout ce qu’ils ont pu m’apporter et qui forment une grande famille. Ils sont restés toujours à l’écoute quel qu’ait été mon niveau. Sans oublier bien sûr Mme. Annie Reithmann qui a su me redonner confiance quand il était nécessaire.
Certes je ne suis pas champion olympique ni astronaute, mais j’ai le sentiment d’avoir gagné une “médaille”’ et d’avoir accompli un de mes rêves d’enfant.
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